AMBATO-BOENY
Ce coin perdu gâte
ses habitants par des sortes de voamaina, de manioc, et de jujube
La culture est
encore traditionnelle (on n’utilise ni tracteurs, ni d’autres
machines mais seulement les mains, des charrues, et on prie Dieu pour que la
récolte soit bonne)
On commence à semer
le mois d’avril (selon la pluie), on amène les charrues et les bêches et on
paie certaine personne pour semer, on n’utilise pas d’engrais, après quelque
mois quand la culture commence à fleurir on utilise différents traitements pour
la protéger contre les petits insectes, lorsque la saison de la récolte arrive,
on utilise les mains pour déterrer (cas des arachides) ensuite on utilise des charrettes pour
transportés la production jusqu’à la maison ensuite on enlève le carapace et on
fait en sorte que l’arachide ne soit pas conserver dans un endroit humide…… il
y a d’autre chose à faire mais comme nous ne sommes pas des cultivateurs, nous
nous contentons juste d’écrire ce qu’ils nous ont répondu
La procédure à
suivre est très compliquée mais les gens ne se plainent pas sur la façon de travailler
ni la difficulté de travail mais sur la difficulté des routes pour vendre leurs
récoltes car la route est en très mauvais état et cela affecte le prix de la
production
Mais quoi qu’il se
passe, l’agriculture fait vivre des familles à Ambato Boeni, cela était
toujours était le cas et nous sommes sure que ca le restera toujours.
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